Les 911 : période 1963-1973
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Les 911 : période 1963-1973
C’est en septembre 1963 que la Porsche 911 fit sa première apparition, à l’occasion du salon automobile de Francfort. Personne n’imaginait alors que près cinquante ans plus tard, elle serait toujours produite !
Aucun autre véhicule de sa catégorie (Grand Tourisme) n’est aujourd’hui en mesure de présenter un palmarès aussi prestigieux que celui de la 911, que ce soit sa longévité de production ou le nombre de victoires obtenues en compétition.
Véritable légende vivante de l’histoire automobile née du génie de Ferry Porsche et de son fils Ferdinand Alexander, « Butzi », elle est l’aboutissement d’un concept élaboré par leur père et grand-père respectif, l’illustre Professeur Ferdinand Porsche, créateur de la célèbre Volkswagen « Coccinelle », détentrice du record mondial d’exemplaires produits (la production de la « Coccinelle » a été stoppée en République Fédérale d’Allemagne courant 1979 ; néanmoins, bien plus d’un demi-siècle après sa présentation officielle, elle continuait d’être assemblée au Mexique et au Brésil !) .
© Porsche AG
Commercialisée à la fin de l’année 1964, la Porsche 911 doit prendre la relève de la Porsche 356 réalisée 16 ans plus tôt à partir d’une base de « Coccinelle », revue et corrigée. La tâche n’est pas aisée du fait de la notoriété acquise par la 356 qu’il va pourtant bien falloir remplacer. Les premières 911 livrées connaissent quelques problèmes de jeunesse, rapidement résolus : carburation (2 triple-corps Solex qui seront remplacés par des Weber) et légèreté du train avant due au positionnement du moteur (un 6 cylindres à plat de 2 litres de cylindrée, refroidi par air et développant la puissance de 130 cv DIN à 6100 tr/mn) à l’arrière et en porte-à-faux.
Très vite, la gamme se diversifie : courant 1966 est proposée une version découvrable baptisée « Targa » puis une version « S », plus affûtée, développant 160 cv DIN pour une vitesse de pointe de plus de 220 km/h ! Courant 1967 est proposée une version « T » de 110 cv DIN, plus paisible, et surtout plus abordable financièrement ...
L’adoption de l’injection (version « T » exceptée ) pour l’année-modèle 1969 ainsi que l’allongement de l’empattement (2,27 m contre 2,20 précédemment) contribue à améliorer l’agrément de conduite de ce modèle, jugé pointu jusqu’à présent, particulièrement pour la version « S » !
Avec l’année-modèle 1970, la cylindrée est portée à 2,2 litres, autorisant un gain de puissance sensible : 125 cv DIN pour la 911 « T », 155 pour la 911 « E », 180 pour la « S », chaque version étant toujours disponible en coupé ou Targa.
L’année-modèle 1972 se caractérise par une nouvelle augmentation de la cylindrée, portée à 2,4 litres, ainsi que par une nouvelle boîte dénommée « 915 » ; la puissance s’élève désormais à 130 cv DIN pour la 911 « T », 165 pour la 911 « E » et 190 pour la 911 « S » . On ne constate pas d’améliorations notables sur le plan des performances pures (la 911 S 2,4 litres revendique 230 km/h en pointe, comme la S 2,2 litres), l ’augmentation de cylindrée visant ici une plus grande souplesse d’utilisation et permettant de rouler à l’essence... Ordinaire !
© Porsche AG
Cette première génération de 911 désormais dénommée « Classic » connaît son apogée avec la fantastique « Carrera RS » extrapolée de la 911 « S » 2,4 litres et dont la cylindrée portée à 2,7 litres permet de disposer de 210 cv DIN ! Produite en série limitée, la « Carrera RS » reste incontestablement une des 911 les plus désirables et mériterait qu’on lui consacre un sujet à elle toute seule !
Jakez
Aucun autre véhicule de sa catégorie (Grand Tourisme) n’est aujourd’hui en mesure de présenter un palmarès aussi prestigieux que celui de la 911, que ce soit sa longévité de production ou le nombre de victoires obtenues en compétition.
Véritable légende vivante de l’histoire automobile née du génie de Ferry Porsche et de son fils Ferdinand Alexander, « Butzi », elle est l’aboutissement d’un concept élaboré par leur père et grand-père respectif, l’illustre Professeur Ferdinand Porsche, créateur de la célèbre Volkswagen « Coccinelle », détentrice du record mondial d’exemplaires produits (la production de la « Coccinelle » a été stoppée en République Fédérale d’Allemagne courant 1979 ; néanmoins, bien plus d’un demi-siècle après sa présentation officielle, elle continuait d’être assemblée au Mexique et au Brésil !) .
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Commercialisée à la fin de l’année 1964, la Porsche 911 doit prendre la relève de la Porsche 356 réalisée 16 ans plus tôt à partir d’une base de « Coccinelle », revue et corrigée. La tâche n’est pas aisée du fait de la notoriété acquise par la 356 qu’il va pourtant bien falloir remplacer. Les premières 911 livrées connaissent quelques problèmes de jeunesse, rapidement résolus : carburation (2 triple-corps Solex qui seront remplacés par des Weber) et légèreté du train avant due au positionnement du moteur (un 6 cylindres à plat de 2 litres de cylindrée, refroidi par air et développant la puissance de 130 cv DIN à 6100 tr/mn) à l’arrière et en porte-à-faux.
Très vite, la gamme se diversifie : courant 1966 est proposée une version découvrable baptisée « Targa » puis une version « S », plus affûtée, développant 160 cv DIN pour une vitesse de pointe de plus de 220 km/h ! Courant 1967 est proposée une version « T » de 110 cv DIN, plus paisible, et surtout plus abordable financièrement ...
L’adoption de l’injection (version « T » exceptée ) pour l’année-modèle 1969 ainsi que l’allongement de l’empattement (2,27 m contre 2,20 précédemment) contribue à améliorer l’agrément de conduite de ce modèle, jugé pointu jusqu’à présent, particulièrement pour la version « S » !
Avec l’année-modèle 1970, la cylindrée est portée à 2,2 litres, autorisant un gain de puissance sensible : 125 cv DIN pour la 911 « T », 155 pour la 911 « E », 180 pour la « S », chaque version étant toujours disponible en coupé ou Targa.
L’année-modèle 1972 se caractérise par une nouvelle augmentation de la cylindrée, portée à 2,4 litres, ainsi que par une nouvelle boîte dénommée « 915 » ; la puissance s’élève désormais à 130 cv DIN pour la 911 « T », 165 pour la 911 « E » et 190 pour la 911 « S » . On ne constate pas d’améliorations notables sur le plan des performances pures (la 911 S 2,4 litres revendique 230 km/h en pointe, comme la S 2,2 litres), l ’augmentation de cylindrée visant ici une plus grande souplesse d’utilisation et permettant de rouler à l’essence... Ordinaire !
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Cette première génération de 911 désormais dénommée « Classic » connaît son apogée avec la fantastique « Carrera RS » extrapolée de la 911 « S » 2,4 litres et dont la cylindrée portée à 2,7 litres permet de disposer de 210 cv DIN ! Produite en série limitée, la « Carrera RS » reste incontestablement une des 911 les plus désirables et mériterait qu’on lui consacre un sujet à elle toute seule !
Jakez
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Re: Les 911 : période 1963-1973
Intéressant ce post !!
Peux-tu nous expliquer comment reconnaitre les différentes versions ?
Peux-tu nous expliquer comment reconnaitre les différentes versions ?
- Jakez
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Re: Les 911 : période 1963-1973
Merci Guillaume !
Je tâcherai de répertorier prochainement les principales caractéristiques qui permettent de les distinguer.
Je tâcherai de répertorier prochainement les principales caractéristiques qui permettent de les distinguer.
- Iceman 29
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Re: Les 911 : période 1963-1973
Bon, pour faire "simple", on va commencer par scinder le groupe des "Classic" en deux :
- Celles d'avant le millésime 1969 (... Année érotique, comme le chantaient Serge Gainsbourg et Jane Birkin qui, au passage, reçut en cadeau de séparation une 911 SC ; élégant geste, Serge ! Elle la revendit par la suite au chanteur Yves Simon, amateur de Porsche également. Allez, je ferme la parenthèse !), donc à empattement court de 2,20 m ; on les reconnaît notamment à la trappe d'accès (de forme ronde) aux barres de torsion AR située à l'extrémité de chaque bas de caisse. Autre détail permettant de les reconnaître : la présence de déflecteurs de vitre, version coupé (sauf l'ultra-confidentielle 911 "R" !) comme Targa.
La 911 des débuts, alors dénommée 901 avant que Peugeot ne fasse valoir ses droits !
© Porsche AG
Sous le capot moteur, elles sont toutes pourvues de carburateurs, des Solex au tout début, puis des Weber qui équipaient aussi les 911 "S".
Pour le millésime 1968 (donc le dernier des versions à empattement court), le noir fait son apparition : essuie-glaces, cerclages des compteurs (chromés jusqu'alors) qui adoptent un lettrage blanc (au lieu de vert).
Une 911 "L" du millésime 1968, avec jantes Fuchs (option)
© Porsche AG
- Celles du millésime 1969 et des suivants, 1973 inclus. Extérieurement, on remarque que la trappe d'accès aux barres de torsion AR (toujours de forme ronde) n'est plus tout à fait à l'extrémité des bas de caisse, que les déflecteurs de vitre ont disparu sur les version coupé (ils sont maintenus sur les versions Targa qui les conserveront jusqu'au millésime 1976 inclus, tous les modèles du millésime suivant étant entre autre dotés de deux bouches d'aération au centre de la planche de bord assurant désormais une meilleure ventilation de l'habitacle) et que les ailes ont légèrement enflé sur le pourtour des arches de roues. Les Targa adoptent aussi un nouvel arceau à trois fentes de ventilation.
Sous le capot moteur, seule la "T" (comme "Touring", entrée de gamme de la 911) conserve les carburateurs, son carter de turbine de refroidissement étant de couleur noire ; la "E" (comme "Einspritzung", injection en allemand, milieu de gamme) et la "S" (comme "Sport", haut de gamme) adoptent une injection mécanique Bosch, leur carter de turbine étant respectivement de couleur verte et rouge.
Comment distinguer maintenant une 2,0 d'une 2,2 ?
Extérieurement, aux poignées de portières : à boutons-poussoirs sur les 2,0 et à gachettes sur les 2,2 apparues pour le millésime 1970, celles du millésime 1971 n'ayant subi que des modifications mineures.
Et pour faire la différence entre une 2,2 et une 2,4 ?
C'est plus facile ! La 2,4 présentée pour le millésime 1972 a maintenant une grille de capot noire ; elle est en outre équipée d'une nouvelle boîte de vitesses dite "915" dont la marche AR, visible sur la grille du pommeau de levier de vitesses, est maintenant située à droite et en bas. Ce millésime est aussi reconnaissable à sa trappe à huile extérieure située au niveau de l'aile AR droite.
Une 911 "S" 2,4 du millésime 1972, reconnaissable à son spoiler AV, autre nouveauté !
© Porsche AG
Pour le millésime 1973, la trappe à huile est supprimée suite aux désastreuses confusions avec la trappe à essence ! Ce dernier millésime des "Classic" se reconnaît aussi aux joncs noirs des feux AV (clignotants) et AR, ainsi qu'à l'apparition des jantes ATS (dénommées "cookies cutter" par les anglo-saxons...), la "S" conservant cependant ses Fuchs, présentes aussi de série sur la nouvelle "Carrera RS" à la cylindrée portée à 2,7 litres et dont les ailes AR élargies accueillent des jantes de 7 pouces de largeur (6 à l'AV, comme pour le reste de la gamme 911).
Une 911 "Carrera RS" 2,7 litres, avec des bandes décoratives "en positif" spécifiques aux modèles de lancement.
© Porsche AG
Voilà les grandes lignes de cette première génération de 911... D'autres viendront sûrement apporter quelques précisions !
Jakez
- Celles d'avant le millésime 1969 (... Année érotique, comme le chantaient Serge Gainsbourg et Jane Birkin qui, au passage, reçut en cadeau de séparation une 911 SC ; élégant geste, Serge ! Elle la revendit par la suite au chanteur Yves Simon, amateur de Porsche également. Allez, je ferme la parenthèse !), donc à empattement court de 2,20 m ; on les reconnaît notamment à la trappe d'accès (de forme ronde) aux barres de torsion AR située à l'extrémité de chaque bas de caisse. Autre détail permettant de les reconnaître : la présence de déflecteurs de vitre, version coupé (sauf l'ultra-confidentielle 911 "R" !) comme Targa.
La 911 des débuts, alors dénommée 901 avant que Peugeot ne fasse valoir ses droits !
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Sous le capot moteur, elles sont toutes pourvues de carburateurs, des Solex au tout début, puis des Weber qui équipaient aussi les 911 "S".
Pour le millésime 1968 (donc le dernier des versions à empattement court), le noir fait son apparition : essuie-glaces, cerclages des compteurs (chromés jusqu'alors) qui adoptent un lettrage blanc (au lieu de vert).
Une 911 "L" du millésime 1968, avec jantes Fuchs (option)
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- Celles du millésime 1969 et des suivants, 1973 inclus. Extérieurement, on remarque que la trappe d'accès aux barres de torsion AR (toujours de forme ronde) n'est plus tout à fait à l'extrémité des bas de caisse, que les déflecteurs de vitre ont disparu sur les version coupé (ils sont maintenus sur les versions Targa qui les conserveront jusqu'au millésime 1976 inclus, tous les modèles du millésime suivant étant entre autre dotés de deux bouches d'aération au centre de la planche de bord assurant désormais une meilleure ventilation de l'habitacle) et que les ailes ont légèrement enflé sur le pourtour des arches de roues. Les Targa adoptent aussi un nouvel arceau à trois fentes de ventilation.
Sous le capot moteur, seule la "T" (comme "Touring", entrée de gamme de la 911) conserve les carburateurs, son carter de turbine de refroidissement étant de couleur noire ; la "E" (comme "Einspritzung", injection en allemand, milieu de gamme) et la "S" (comme "Sport", haut de gamme) adoptent une injection mécanique Bosch, leur carter de turbine étant respectivement de couleur verte et rouge.
Comment distinguer maintenant une 2,0 d'une 2,2 ?
Extérieurement, aux poignées de portières : à boutons-poussoirs sur les 2,0 et à gachettes sur les 2,2 apparues pour le millésime 1970, celles du millésime 1971 n'ayant subi que des modifications mineures.
Et pour faire la différence entre une 2,2 et une 2,4 ?
C'est plus facile ! La 2,4 présentée pour le millésime 1972 a maintenant une grille de capot noire ; elle est en outre équipée d'une nouvelle boîte de vitesses dite "915" dont la marche AR, visible sur la grille du pommeau de levier de vitesses, est maintenant située à droite et en bas. Ce millésime est aussi reconnaissable à sa trappe à huile extérieure située au niveau de l'aile AR droite.
Une 911 "S" 2,4 du millésime 1972, reconnaissable à son spoiler AV, autre nouveauté !
© Porsche AG
Pour le millésime 1973, la trappe à huile est supprimée suite aux désastreuses confusions avec la trappe à essence ! Ce dernier millésime des "Classic" se reconnaît aussi aux joncs noirs des feux AV (clignotants) et AR, ainsi qu'à l'apparition des jantes ATS (dénommées "cookies cutter" par les anglo-saxons...), la "S" conservant cependant ses Fuchs, présentes aussi de série sur la nouvelle "Carrera RS" à la cylindrée portée à 2,7 litres et dont les ailes AR élargies accueillent des jantes de 7 pouces de largeur (6 à l'AV, comme pour le reste de la gamme 911).
Une 911 "Carrera RS" 2,7 litres, avec des bandes décoratives "en positif" spécifiques aux modèles de lancement.
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Voilà les grandes lignes de cette première génération de 911... D'autres viendront sûrement apporter quelques précisions !
Jakez
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- Inscription : 08 juin 2012 13:14
- prénom : Guillaume
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Re: Les 911 : période 1963-1973
Merci !!
Ce n'est pas simple tous ces détails !! je vais étudier cela à tête reposée !!
Ce n'est pas simple tous ces détails !! je vais étudier cela à tête reposée !!
-
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Re: Les 911 : période 1963-1973
Toujours un plaisir de lire tout ceci!
Merci d’améliorer notre culture Porsche Yann Jakez!
Merci d’améliorer notre culture Porsche Yann Jakez!
- Jakez
- confirmé
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- Inscription : 14 mai 2012 08:55
- Véhicule : 911 SC
- Localisation : Penn-ar-Bed (29)
Re: Les 911 : période 1963-1973
De rien Kenan, le plaisir, c'est aussi de partager !
Tu te rappelles, quand tu avais vu Paul Frère (le regretté...) aux 24 Heures du Mans en 2005 (je crois) ? Un grand moment d'avoir pu discuter ensemble avec lui !
Tu te rappelles, quand tu avais vu Paul Frère (le regretté...) aux 24 Heures du Mans en 2005 (je crois) ? Un grand moment d'avoir pu discuter ensemble avec lui !
- Marvin2911
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- Inscription : 28 avr. 2019 16:55
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Re: Les 911 : période 1963-1973
Bon... Je sais que j’ai fait fort niveau « déterrage » mais j’ai trouvé super intéressant le post de Jakez et pense que lui redonner de la visibilité ne peut que faire du bien
- Jakez
- confirmé
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- Véhicule : 911 SC
- Localisation : Penn-ar-Bed (29)
Re: Les 911 : période 1963-1973
Merci beaucoup Marvin, content que tu aies apprécié ce résumé .
Il y en a un (voire deux !) pour chaque génération de 911 "air-cooled" .
Pour cette période 1963-1973, je viens de remettre les photos qui avaient disparu (l'hébergeur en fait) ; je vais m'en occuper d'ici peu pour les autres périodes.
Pour les 911 "liquid cooled", Boxster et Cayman, je laisse le soin à d'autres de le faire .
Il y en a un (voire deux !) pour chaque génération de 911 "air-cooled" .
Pour cette période 1963-1973, je viens de remettre les photos qui avaient disparu (l'hébergeur en fait) ; je vais m'en occuper d'ici peu pour les autres périodes.
Pour les 911 "liquid cooled", Boxster et Cayman, je laisse le soin à d'autres de le faire .
- Marvin2911
- confirmé
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- Inscription : 28 avr. 2019 16:55
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Re: Les 911 : période 1963-1973
Au topJakez a écrit : ↑02 sept. 2019 16:27Merci beaucoup Marvin, content que tu aies apprécié ce résumé .
Il y en a un (voire deux !) pour chaque génération de 911 "air-cooled" .
Pour cette période 1963-1973, je viens de remettre les photos qui avaient disparu (l'hébergeur en fait) ; je vais m'en occuper d'ici peu pour les autres périodes.
Pour les 911 "liquid cooled", Boxster et Cayman, je laisse le soin à d'autres de le faire .
Merci