Les 911 : période 1978-1989
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Les 911 : période 1978-1989
C’est avec le millésime 1978 que la 930 connaît sa première évolution notable, la cylindrée passant alors de 3,0 litres à 3,3 litres et le moteur reçevant à cette occasion un échangeur air-air destiné à abaisser la température de l’air comprimé à l’admission, de telles améliorations lui permettant d’atteindre 300 cv DIN (265 pour le marché US, où la 930 n’est plus exportée dès décembre 1979, en raison des exigences de normes antipollution accrues) au même régime de 5 500 tr/mn, le couple de 42 mkg étant disponible sur une plus large plage de régime. Capable d’accélérer de 0 à 100 Km/h en 5,4 s et d’atteindre plus de 260 Km/h, la “3,3”, reconnaissable extérieurement à son aileron plus volumineux, dispose de nouveaux étriers de freins associés à des disques ventilés et perforés de type 917; le freinage est désormais à la hauteur des performances : exceptionnel !
Pour autant, l’optimisme n’est guère de mise et certains y voient même “le début de la fin” de la 911 car, pour ce millésime 1978, la gamme est réduite à une seule version atmosphérique : la SC (“Super Carrera”, tout de même !) semble être destinée à tourner la page de la 911, de la même manière que la 356 quatorze ans auparavant ! Proposée avec une cylindrée de 3,0 litres, elle ne développe que 180 cv DIN, mais pour faire avaler la pilule, elle est équipée en série d’une boîte 5 vitesses, d’un allumage sans rupteur, de barres stabilisatrices et d’un système de régulation automatique du chauffage. Malgré sa puissance en retrait, la SC va séduire (la victoire de la 911 de Jean-Pierre Nicolas au Rallye Monte-Carlo de la même année n’y est sans doute pas pour rien !). L’usine décide alors dans un premier temps de revoir sa copie, 188 cv DIN pour le millésime 1980 (la 930 se voyant dotée à cette occasion d’un silencieux d’échappement à double sortie) et de se séparer ensuite d’ Ernst Führmann au cours de la même année. Son successeur, Peter-W. Schutz, croit en l’avenir de la 911 : c’est notamment sous son impulsion que la puissance de la SC passe à 204 cv DIN pour le millésime 1981 (reconnaissable à ses répétiteurs d’indication de direction sur les ailes avant, qu’on retrouve aussi sur la 930) et que le cabriolet est commercialisé avec le millésime 1983, qui correspond à la dernière année de production de la SC.
© Porsche AG
La vraie nouveauté arrive avec la Carrera 3,2 qu’on peut considérer à juste titre comme la 911 de la résurrection ! Reconnaissable à ses phares antibrouillard incorporés dans le spoiler avant et à ses tendeurs de chaîne hydrauliques sous pression (modifications concernant également la 930), la Carrera 3,2, dont la commercialisation correspond au millésime 1984, est dotée du système d’injection Bosch Motronic permettant au moteur de développer 231 cv DIN.
Rappelons qu’à partir de cette date, il est également possible de commander un “turbo look” auprès de l’usine. Sur ces six années de production, sa carrière se terminant avec le millésime 1989 inclus, la modification la plus importante est l’adoption de la nouvelle boîte G 50 avec le millésime 1987, reconnaissable aux feux antibrouillard arrière incorporés dans le bandeau qui équipent également la 930. Au Salon de Genève de 1987, celle-ci est enfin disponible auprès de l’usine en Targa et en cabriolet, quelques propriétaires n’ayant pas attendu pour faire réaliser une telle transformation auprès de spécialistes (Pristine Porsche, B+B Auto-Exclusiv,...) ! Mais c’est le millésime 1989 qui retient l’attention des amateurs de performances : la nouvelle boîte 5 vitesses, outre un meilleur guidage, permet en effet de mieux tirer parti de la puissance qui, elle, reste inchangée. Mais les jours de la 930 sont comptés, la nouvelle 964/911 Carrera 4 étant commercialisée au même moment...
Parmi les séries spéciales, la SC Jubilé (teinte gris météor métal, intérieur partiel cuir bordeaux, sièges signés Ferry Porsche). A signaler aussi la production d’une vingtaine de SC RS pour la compétition.
Extrapolée de la Carrera 3,2 et présentée fin 1987, la version allégée Club Sport, produite à 610 exemplaires seulement aurait pu s’appeler RS : elle dispose en série d’un châssis sport, d’un intérieur allégé, la coupure d’allumage se produisant à 6 600 tr/mn (détail visible sur la zone rouge du compte-tours) au lieu de 6 300 pour la version normale. Autres versions particulières de la Carrera 3,2, l’Anniversaire et surtout la Speedster, dont l’essentiel de la production sont des “turbo look” .
© Porsche AG
Quant à la 930, Sonauto, alors importateur pour la France, décide de lancer en 1989 une série spéciale de dix 930 baptisées “Turbo S” , toutes équipées et préparées, avec 330 cv à la clé !
Jakez
Pour autant, l’optimisme n’est guère de mise et certains y voient même “le début de la fin” de la 911 car, pour ce millésime 1978, la gamme est réduite à une seule version atmosphérique : la SC (“Super Carrera”, tout de même !) semble être destinée à tourner la page de la 911, de la même manière que la 356 quatorze ans auparavant ! Proposée avec une cylindrée de 3,0 litres, elle ne développe que 180 cv DIN, mais pour faire avaler la pilule, elle est équipée en série d’une boîte 5 vitesses, d’un allumage sans rupteur, de barres stabilisatrices et d’un système de régulation automatique du chauffage. Malgré sa puissance en retrait, la SC va séduire (la victoire de la 911 de Jean-Pierre Nicolas au Rallye Monte-Carlo de la même année n’y est sans doute pas pour rien !). L’usine décide alors dans un premier temps de revoir sa copie, 188 cv DIN pour le millésime 1980 (la 930 se voyant dotée à cette occasion d’un silencieux d’échappement à double sortie) et de se séparer ensuite d’ Ernst Führmann au cours de la même année. Son successeur, Peter-W. Schutz, croit en l’avenir de la 911 : c’est notamment sous son impulsion que la puissance de la SC passe à 204 cv DIN pour le millésime 1981 (reconnaissable à ses répétiteurs d’indication de direction sur les ailes avant, qu’on retrouve aussi sur la 930) et que le cabriolet est commercialisé avec le millésime 1983, qui correspond à la dernière année de production de la SC.
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La vraie nouveauté arrive avec la Carrera 3,2 qu’on peut considérer à juste titre comme la 911 de la résurrection ! Reconnaissable à ses phares antibrouillard incorporés dans le spoiler avant et à ses tendeurs de chaîne hydrauliques sous pression (modifications concernant également la 930), la Carrera 3,2, dont la commercialisation correspond au millésime 1984, est dotée du système d’injection Bosch Motronic permettant au moteur de développer 231 cv DIN.
Rappelons qu’à partir de cette date, il est également possible de commander un “turbo look” auprès de l’usine. Sur ces six années de production, sa carrière se terminant avec le millésime 1989 inclus, la modification la plus importante est l’adoption de la nouvelle boîte G 50 avec le millésime 1987, reconnaissable aux feux antibrouillard arrière incorporés dans le bandeau qui équipent également la 930. Au Salon de Genève de 1987, celle-ci est enfin disponible auprès de l’usine en Targa et en cabriolet, quelques propriétaires n’ayant pas attendu pour faire réaliser une telle transformation auprès de spécialistes (Pristine Porsche, B+B Auto-Exclusiv,...) ! Mais c’est le millésime 1989 qui retient l’attention des amateurs de performances : la nouvelle boîte 5 vitesses, outre un meilleur guidage, permet en effet de mieux tirer parti de la puissance qui, elle, reste inchangée. Mais les jours de la 930 sont comptés, la nouvelle 964/911 Carrera 4 étant commercialisée au même moment...
Parmi les séries spéciales, la SC Jubilé (teinte gris météor métal, intérieur partiel cuir bordeaux, sièges signés Ferry Porsche). A signaler aussi la production d’une vingtaine de SC RS pour la compétition.
Extrapolée de la Carrera 3,2 et présentée fin 1987, la version allégée Club Sport, produite à 610 exemplaires seulement aurait pu s’appeler RS : elle dispose en série d’un châssis sport, d’un intérieur allégé, la coupure d’allumage se produisant à 6 600 tr/mn (détail visible sur la zone rouge du compte-tours) au lieu de 6 300 pour la version normale. Autres versions particulières de la Carrera 3,2, l’Anniversaire et surtout la Speedster, dont l’essentiel de la production sont des “turbo look” .
© Porsche AG
Quant à la 930, Sonauto, alors importateur pour la France, décide de lancer en 1989 une série spéciale de dix 930 baptisées “Turbo S” , toutes équipées et préparées, avec 330 cv à la clé !
Jakez
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Re: Les 911 : période 1978-1989
Mon eX 911 3.2 de 1989. Acheté à Brest en 2002, chez JP Prohet. 87000 km!
Bleu Baltique L37B.
Un dépôt vente! Le dépôt a duré seulement la journée du jeudi, car par chance je suis passé le jour même de son arrivée! Ni une ni deux!
Quelques photos juste avant la vente en 2010, 121000 km, puis durant nos années concubinages .
Toit ouvrant.
Climatisation.
Sièges réglages électriques, cuir.
Options:
220
650
425
559
Un superbe auto! Très fiable.
Ici avec une Amie 3 litres.
Bleu Baltique L37B.
Un dépôt vente! Le dépôt a duré seulement la journée du jeudi, car par chance je suis passé le jour même de son arrivée! Ni une ni deux!
Quelques photos juste avant la vente en 2010, 121000 km, puis durant nos années concubinages .
Toit ouvrant.
Climatisation.
Sièges réglages électriques, cuir.
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Un superbe auto! Très fiable.
Ici avec une Amie 3 litres.
- Jakez
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Re: Les 911 : période 1978-1989
Salut Pascal,
Elle était superbe, cette 3,2 !
L'avant-dernière photo me dit quelque chose : je reconnais la RS 2,7 jaune, celle d'un certain Berthelot (qui aurait aussi une 356 Carrera !), ainsi que la 964 RS rouge : c'était lors du seul et unique rallye organisé sur un week-end dans le Morbihan par Erwan Six, commercial (et passionné ! Il faut le préciser, car ce n'est pas toujours le cas ...) à l'époque au CP Lorient. C'était en 2003, nous y étions aussi avec ma SC. On avait passé un super moment !
Elle était superbe, cette 3,2 !
L'avant-dernière photo me dit quelque chose : je reconnais la RS 2,7 jaune, celle d'un certain Berthelot (qui aurait aussi une 356 Carrera !), ainsi que la 964 RS rouge : c'était lors du seul et unique rallye organisé sur un week-end dans le Morbihan par Erwan Six, commercial (et passionné ! Il faut le préciser, car ce n'est pas toujours le cas ...) à l'époque au CP Lorient. C'était en 2003, nous y étions aussi avec ma SC. On avait passé un super moment !
- Iceman 29
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Re: Les 911 : période 1978-1989
Bien vu, effectivement. Ca avait été un WE très sympa. Je n'avais pas tourné à Loéhac.
Mais, ma Femme oui, avec la RS rouge et en tant que SDS.
Une vidéo de l'événement que j'ai réalisé, son pas top.. on y voit ton auto et une belle brochette de "G":
Mais, ma Femme oui, avec la RS rouge et en tant que SDS.
Une vidéo de l'événement que j'ai réalisé, son pas top.. on y voit ton auto et une belle brochette de "G":
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Re: Les 911 : période 1978-1989
bravo pour la vidéo, beau montage pour l'époque....
ça va nous donner des idées tout ça
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- Jakez
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Re: Les 911 : période 1978-1989
C'est seulement aujourd'hui que je viens de prendre connaissance de cette video ... Terrible ! Ça avait été un super week-end. Avec Yves "yeun" qui était copilote, nous avions terminé deuxièmes du rallye touristique, derrière Jean-Claude Berthelot et sa belle 911 Carrera RS 2,7 jaune !
- Iceman 29
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Re: Les 911 : période 1978-1989
Très bon We, malgré la pluie du dimanche matin. Je n'avais tourné sur le circuit, je l'ai regretté après coup.
- Jakez
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Re: Les 911 : période 1978-1989
Moi non plus je n'avais pas tourné ; déjà la météo n'était pas terrible, et de plus j'ai toujours une certaine appréhension à mettre ma SC sur un circuit... Non pas qu'elle ne soit pas faite pour ça, mais plutôt par peur de l'abîmer, d'une manière ou d'une autre.
J'ai vu, même si c'est plutôt rare, quelques accidents lors de sorties sur circuit, notamment la 964 d'un ami dont le fils, pourtant expérimenté, n'avait rien pu faire pour "sauver" l'auto qui venait de perdre ses freins (liquide en ébullition, sûrement dû à la chaleur étouffante qu'il faisait ce jour-là au Vigeant)... Après avoir tapé dans les rails, il était rentré aux stands avec une auto fracassée ; et c'est peu de dire que son père était dans une colère noire . Elle a heureusement pu être réparée.
Avec la 106 Rallye, j'appréhende moins ; combien même elle n'a pas la valeur sentimentale et matérielle de ma SC, le but n'est évidemment pas de la casser... J'étais allé tourner avec l'année dernière lors d'une sortie Echappement (tous les derniers dimanches du mois à Lohéac), c'était sympa !
J'ai vu, même si c'est plutôt rare, quelques accidents lors de sorties sur circuit, notamment la 964 d'un ami dont le fils, pourtant expérimenté, n'avait rien pu faire pour "sauver" l'auto qui venait de perdre ses freins (liquide en ébullition, sûrement dû à la chaleur étouffante qu'il faisait ce jour-là au Vigeant)... Après avoir tapé dans les rails, il était rentré aux stands avec une auto fracassée ; et c'est peu de dire que son père était dans une colère noire . Elle a heureusement pu être réparée.
Avec la 106 Rallye, j'appréhende moins ; combien même elle n'a pas la valeur sentimentale et matérielle de ma SC, le but n'est évidemment pas de la casser... J'étais allé tourner avec l'année dernière lors d'une sortie Echappement (tous les derniers dimanches du mois à Lohéac), c'était sympa !
- Oussama911
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Re: Les 911 : période 1978-1989
Les sorties Echappement, c'est pas ce qu'il y a de plus rassurant pour débuter : Vu l'affluence & l'hétérogènéité des plateaux.jakez a écrit :J'étais allé tourner avec l'année dernière lors d'une sortie Echappement (tous les derniers dimanches du mois à Lohéac), c'était sympa !
(j'y ai été plusieurs fois en "spectateur")
J'envisage également un baptême de piste pour la golf mais plutot à Fay et dans un cadre plus restreint.
La location peut aussi être une autre solution lorsqu'on craint pour son propre véhicule. Je me suis tiré une bonne bourre contre un Cayman Cup mais comme j'avais une voiture orange (Exige S), le boxer est finalement resté dans mes rétro
Après deux saisons de diète, je commence a être en manque
Dernière modification par Oussama911 le 08 août 2013 11:54, modifié 1 fois.
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Re: Les 911 : période 1978-1989
A partir du moment où chacun va à son rythme et qu'on a toujours un œil dans ses rétros ... Il pleuvait des cordes quand on y était l'année dernière avec la 106 Rallye, donc pas vraiment les conditions idéales côté météo non plus ; quelques têtes-à-queue, mais aucun dégât ! Nous étions venus par la route avec et étions rentrés sans le moindre problème ; le lundi, elle reprenait "le chemin de l'école" ! Pas de plateau, pas de camion... C'est quand même appréciable ! La location, pourquoi pas ? Mais vu que dans mon cas je l'utilise aussi (et essentiellement) au quotidien, pour moi ça n'a pas vraiment d'intérêt.Oussama911 a écrit :Les sorties Echappement, c'est pas ce qu'il y a de plus rassurant pour débuter : Vu l'affluence & l'hétérogènéité des plateaux.
(j'y ai été plusieurs fois en "spectateur")
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Re: Les 911 : période 1978-1989
un article d'époque de l'auto-journal de avril 1981 rien que pour Jean Jacques
les arguments tops j'ai récupéré quelques revues des années 70 à 90 chez mes parents ,j'ai de la lecture pour les longues soirées d'hiver
les arguments tops j'ai récupéré quelques revues des années 70 à 90 chez mes parents ,j'ai de la lecture pour les longues soirées d'hiver
- Jakez
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Re: Les 911 : période 1978-1989
EXTRA Dom ! Bien entendu, je confirme, mais seulement depuis un peu plus d'un an, TOUS les points mentionnés dans cette publicité ; en effet, pour la "stabilité exceptionnelle", je ne l'ai découvert que l'année dernière, en faisant monter l'option M474, celle des amortisseurs sport ! Si j'avais su avant quel était le gain procuré, je n'aurais pas attendu 17 ans... A conseiller fortement ! Et pour une mélodie incomparable, pose d'échangeurs inox SSI de type Classic, d'autant plus que ce montage est mécaniquement plus cohérent que celui d'origine (échappements de même longueur pour les deux bancs de cylindres, gain en couple) .
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Re: Les 911 : période 1978-1989
Super effectivement!
par contre, "moins de 5 dixièmes de seconde" pour doubler un semi-remorque, ça doit quand même être un tout petit semi-remorque....
par contre, "moins de 5 dixièmes de seconde" pour doubler un semi-remorque, ça doit quand même être un tout petit semi-remorque....
- skogkatt
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Re: Les 911 : période 1978-1989
Si,si, bien lancé ça le fait